Normandie

T2 à Caen en Malraux

Adresse

70, 72 et 74 rue Caponière - Résidence de la Visitation

Details

1
 Chambres
1
 Salle de bain
0
Garages
60
 M2

Défiscalisation Malraux à Caen🌟

Emplacement

👉Adresse : 70, 72 et 74 rue Caponière - Résidence de la Visitation
👉Appartements T2 de 60 m²
👉Prix : 433 686 €

Descriptif

Ancien couvent de la Visitation et ancienne caserne de cavalerie (Monument Historique – Exonération de la taxe foncière)

Normandie ; Calvados (14) ; Caen ; 70, 72, 74 rue Caponière.

17e siècle.

Date et niveau de protection de l’édifice :

13/06/1927 : inscrit MH ; 18/11/1988 : inscrit MH.

Numéros de parcelles cadastrales actuels :

276, 294 et 295.

Cloître de l’ancien couvent (cad. BI 51) : inscription par arrêté du 13 juin 1927 et par arrêté du 15 février 1946.

Maison dite du Grenadier : façades et toitures ; tour avec son escalier en vis et son pigeonnier.

Ancien couvent de la Visitation : façades et toitures des bâtiments conventuels et du pensionnat des demoiselles, y compris l’extension du 19e siècle.

Ancienne caserne de cavalerie (dépôt de remonte) : infirmerie vétérinaire ; pharmacie vétérinaire ; forge dite des maréchaux avec son équipement, préau reliant forge et pharmacie et grande écurie leur faisant face (cad. BI 51, 66, 70) : inscription par arrêté du 18 novembre 1988.

Précisions sur les éléments protégés

Cloître, maison, pigeonnier, bâtiment conventuel, pensionnat, infirmerie, pharmacie, forge, écurie, tour, élévation, toiture

Inscription chapelle et cloître 13 06 1927 (arrêté), radiation chapelle 15 02 1946 (arrêté).

Le 13 juin 1927, l’ancienne chapelle et le cloître sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Mais l’ancienne église est détruite lors d’un bombardement pendant la bataille de Caen en 1944 ; elle a donc été radiée de la liste des monuments historiques par l’arrêté du 15 février 1946. En revanche, le reste du monastère a été inscrit à son tour le 18 novembre 1988, en même temps que les bâtiments à usage militaire construits au XIXe siècle.

Sont concernés par les arrêtés d’inscription :

  • le cloître de l’ancien couvent ;
  • la maison dite du Grenadier (les façades et les toitures, ainsi que la tour avec son escalier en colimaçon et son pigeonnier) ;
  • les façades et toitures des bâtiments conventuels et du pensionnat des demoiselles, y compris l’extension du XIXe siècle.

L’ancien couvent de la Visitation de Caen,

appelé également monastère de la Visitation de Sainte-Marie de Caen ou Visitation de Caen, est un monastère fondé par l’Ordre de la Visitation dans le Bourg-l‘ Abbé à Caen au début du XVIIe siècle. Transformé en caserne pendant la Révolution, il est aujourd’hui englobé dans l’emprise du Quartier Lorge. Il ne doit pas être confondu avec le nouveau monastère des Visitandines de Caen où se sont installées les sœurs au début du XIXe siècle après la refondation de l’ordre. Le cloître de l’ancien monastère fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 13 juin 1927. Les bâtiments conventuels font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 18 novembre 1988.

L’implantation des sœurs de la Visitation à Caen s’inscrit dans l’important mouvement de fondation d’établissements religieux consécutif à la Contre-Réforme. Au XVIIe siècle, de nombreux monastères et couvents sont en effet fondés à Caen, ville où les Huguenots étaient autrefois nombreux. Fondé à Annecy dans les années 1610 par François de Sales et Jeanne de Chantal, l’ordre se développe partout en France dans les décennies qui suivent.

La fondation de la communauté de Caen en 1631.

Six religieuses professes quittent le monastère lyonnais pour s’installer le 20 octobre 1627 à Dol-de-Bretagne. Mais quatre ans plus tard, elles délaissent cet établissement insalubre et élisent domicile le 16 juillet 1631 dans une maison de la rue Saint-Jean à Caen. L’année suivante, en 1632, elles choisissent de s’établir définitivement à la périphérie de la ville près du monastère des Capucins (actuel Bon-Sauveur) et du temple protestant. Elles achètent le 16 décembre 1632 un terrain de cinq acres entouré d’une muraille et dans lequel se trouve une maison (aujourd’hui connue sous le nom de maison du Grenadier), une cour, un colombier et un jardin. En 1655, les Visitandines de Caen tentent de fonder une nouvelle Visitation à Saint-Sauveur-le-Vicomte ; mais elles échouent du fait de la mort de la mère supérieure, Marie du Breil de Pontbriand et reviennent dès 1656.

La construction du couvent

De 1632 à 1661, Marie-Élisabeth de Maupeou fait construire par Guillaume Brodon l’église et les bâtiments conventuels. Les bâtiments conventuels sont construits de 1632 à 1647 autour d’une cour carrée aménagée en cloître dans les années 1650. L’église, construite entre 1648 et 1661, est consacrée par l’évêque de Bayeux, Mgr de Nesmond le 8 avril 16684. Elle vient remplacer une chapelle plus petite et plus exposée au bruit du fait de sa proximité avec la route de Bretagne (actuelle rue Caponière). Marie de Harcourt-Beuvron et sa sœur Marie-Françoise d’Harcourt ayant pris l’habit à la Visitation de Caen respectivement en 1646 et en 1652, ce nouveau lieu de culte est financé par la puissante famille d’Harcourt ; en contrepartie, la famille dispose du privilège de posséder un caveau funéraire dans l’église. Marie-Françoise d’Harcourt fut par ailleurs supérieure de la Visitation de Caen de 1680 à 1683, de 1692 à 1695 et de 1704 à 1707. Dans les années 1780, un pensionnat est également construit à côté du monastère.

La vie de la communauté

Les Visitandines étaient à l’origine orientées vers la voie de la Vita activa et s’investissaient dans la vie locale. L’institution avait pour objectif de secourir les filles et femmes à la santé fragile.

Le 30 juillet 1644, l’évêque de Bayeux, Mgr d’Angennes, permet à des sœurs de la Visitation de Caen de venir reprendre en main l’institut fondé par Jean Eudes pour recueillir les prostituées repenties. Bien que réticente, la supérieure de la Visitation de Caen, Marie-Françoise Marguerite Patin, s’installe le 16 août 1644 au refuge avec deux autres nonnes pour gouverner l’établissement connu sous le nom de Notre-Dame du Refuge, puis de Notre-Dame de Charité. Lassées du manque de moyens et de l’opposition à laquelle elles doivent faire face, les sœurs de la Visitation quittent l’institut en 1649. Les Visitandines de Caen sont également envoyées à la Charité de Bayeux et au Bon-Sauveur de Saint-Lô.

La règle de la clôture s’est ensuite imposée et les Visitandines se sont retirées dans la vie contemplative. À Caen, leur travail été repris à partir de 1720 par Anne Le Roy qui fonde à Vaucelles une communauté non cloîtrée prenant en charge « des filles et femmes débauchées », puis des femmes aliénées, connue à partir de 1734 sous le nom de Filles du Bon-Sauveur.

L’expulsion des sœurs.

Le 3 novembre 1789, l’Assemblée Nationale décide de mettre les biens ecclésiastiques à la disposition de la Nation. Dès le 13 janvier 1790, la chapelle est attribuée à la cinquième sections révolutionnaires pour qu’elle y tienne ses réunions. Le 18 mai de cette même année, le District dresse l’inventaire du mobilier et des livres à l’usage des religieuses ; puis le 18 juin, l’état des aumônes libres que la Visitation faisait année commune est établi. Le 11 août et 15 août 1792, les monastères sont définitivement interdits et les congrégations hospitalières et enseignantes sont dissoutes ; le pensionnat de la Visitation est donc fermé. Dès le 17 août 1792, l’armée occupe les lieux. Les sœurs sont chassées par groupes et les dernières religieuses quittent l’établissement en octobre 1792.

La transformation en caserne.

Dès le 14 octobre 1793, une commission est chargée par la ville de dénombrer le nombre de lits pouvant être utilisés pour loger les soldats dans différents établissements de la ville, notamment à la Visitation. Des procès-verbaux dressés en novembre 1793 et juin 1794 constatent que les troupes de passage commettent des actes de vandalisme dans l’ancien établissement religieux. Au début du XIXe siècle, le monastère caennais est définitivement transformé en caserne. L’église est utilisée comme une annexe militaire et des écuries sont construits dans les anciens jardins à partir de 1835. Vers cette date, la caserne de la Visitation est rebaptisée dépôt de Remonte, puis Quartier Lorge.

Le 8 mars 2019, le Fonds régional d’art contemporain de Normandie-Caen est officiellement inauguré dans l’ancien couvent restauré.

Le Quartier Lorge

Fin 18ème début 19ème, d’anciens lieux de culte sont réservés par l’armée. Cette transformation n’est pas sans conséquence. Des planchers sont par exemple construits pour diviser Saint-Nicolas ou la Trinité. Des couvents sont également réutilisés pour loger les troupes. C’est le cas du couvent de la Visitation, situé rue Caponière. En 1792, les sœurs sont chassées de leur établissement. La 73ème brigade de Cuirassiers, puis le 8ème régiment de Dragons les remplacent.

En 1818, y est installé le premier dépôt de remonte, alors expérimental. L’armée avait alors besoin de chevaux en quantité. Afin de s’assurer un approvisionnement sécurisé, elle crée cette institution dont le but est d’acheter des chevaux directement aux propriétaires ou aux éleveurs, de les élever et de les préparer. Où créer cette première institution sinon dans le Calvados et plus particulièrement à Caen où la filière équestre tient déjà une place importante depuis le 18ème siècle ? En 1831, le corps de Remonte est officiellement créé et Caen dispose de l’effectif le plus important. Des nouveaux bâtiments sont construits sur la terrasse surplombant l’ancien couvent : des écuries spacieuses, pouvant accueillir 700 chevaux, des services annexes comme des forges pour les maréchaux-ferrants, un cabinet de vétérinaires et une pharmacie vétérinaire. Cet ensemble remarquable a été inscrit au titre des monuments historiques en 1988. Fin 19ème, la caserne est rebaptisée en l’honneur de Jean Thomas Guillaume Lorge, général de la Révolution française né à Caen en 1727. Le quartier Lorge est toutefois victime de l’évolution des techniques militaires. A partir du début du 19ème siècle, la cavalerie est de moins en moins utilisée et les dépôts de remonte deviennent inutiles. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le couvent est bombardé. L’ancienne chapelle, transformée au cours du temps en magasin, en salle d’armes, en remise pour voiture et enfin en magasin d’alimentation, n’y survit pas.

Après le conflit, le Quartier Lorge est choisi pour abriter le siège de la subdivision militaire du Calvados, circonscription dissoute en 1991. Dans les années 1990, les archives des victimes des conflits contemporains s’y installent. Dans les années 2000, les civils se réapproprient les locaux. La maison des associations ouvre dans l’ancien mess des officiers en 2005. Après l’échec du projet de l’atelier du livre d’art et de l’estampe où devait être exposé les fonds de l’Imprimerie Nationale, le site est choisi pour y transférer le Fonds régional d’art contemporain de Basse-Normandie, projet confié à Rudy Ricciotti.

Le cloître

Les galeries du cloître, érigées dans les années 1650, sont percées par des arcades en plein cintre encadrées par des pilastres surmontées de chapiteaux d’ordre toscan. Dans l’agglomération caennaise, on retrouve ce style très sobre, typique du classicisme français, à l’abbaye d’Ardenne, dont le cloître est reconstruit quelques décennies auparavant et qui a aujourd’hui disparu, et à l’abbaye aux Hommes, relevée un siècle plus tard. Comme à l’abbaye aux Dames, le cloître n’est pas fermé, le bâtiment ouest étant manquant. Dans le cadre de la restauration du bâtiment afin d’y accueillir le Fonds régional d’art contemporain de Normandie-Caen, les arcades sont fermées par des vitres afin de les transformer en couloir de circulation.

L’église (disparue en 1944).

L’église est construite entre 1648 et 1661. Après la transformation du couvent en caserne, la chapelle est transformée en annexe : salle d’armes, stockage des voitures régimentaires, réserves d’alimentation. Le plan prenait la forme d’une croix grecque ; les deux transepts étaient occupés par des chapelles dédiées à Saint-François-de-Sales à gauche et à Saint-Joseph à droite. L’église disposée de deux chœurs, l’un dans la continuité de la nef et un, destiné aux sœurs, entre le chœur de la chapelle et le transept gauche. Le chœur des sœurs était séparé du chœur de la chapelle par une grille en fer et en bronze disparue après la transformation du couvent en caserne. Le chœur était surélevé de deux marches, alors que les deux chapelles ne l’étaient que d’une marche. Le sol était pavé de morceaux de pierre taillés régulièrement au carré ; dans le chœur, au point d’union des angles de ces pavés, un emplacement était réservé pour y placer de petits carrés de marbre noir. Ce sol est recouvert de terre au XIXe siècle lorsque la chapelle est transformée en garage. La chapelle Saint-Joseph était ornée d’un bas-relief représentant la fuite en Égypte ; ce bas-relief a été martelé. Le caveau des Harcourt se trouvait sous la chapelle Saint-François de la Sales. Il mesurait 3 m de large sur 4,20 m de long ; voûté, sa hauteur était de 2 m à la clef de voûte. L’autel de la chapelle a été déplacé dans la nouvelle chapelle des Visitandines, rue de l’Abbatiale, sans son tabernacle de cristal.

Le style de la façade rappelait celui des églises jésuites représentées à Caen par l’église Notre-Dame-de-la-Gloriette. Au-dessus de la croisée du transept, le clocher en forme de dôme était surmonté d’un lanternon. La façade du portail principal était ornée de colonnes d’ordre dorique au niveau inférieur et ionique au niveau supérieur. Selon un auteur de la fin du XVIIe siècle, cette église est « d’une construction tout à fait belle et qu’il ne se voit pas à Caen d’un semblable dessein n’y qui porte une semblable lanterne sur le milieu ».

Aujourd’hui

La maison des associations

En 2005, le Centre de ressources pour les associations, rebaptisé maison des associations en septembre 2009, est ouvert dans l’ancien mess des cadres, bâtiment construit en 1844-1858 et rétrocédé en 2003 à la ville de Caen. La maison des associations est transférée à la Guérinière en 2018 ; le bâtiment du quartier Lorge abrite depuis la maison de quartier « centre » afin d’abriter les bureaux et locaux administratifs de plusieurs associations culturelles.

Le pôle culturel

Philippe Duron, alors maire de Caen, souhaitait transformer l’ancienne caserne en « atelier du livre d’art et de l’estampe » organisé autour des fonds de l’Imprimerie nationale. Mais il est ensuite envisagé de créer ce musée sur le site de l’abbaye d’Ardenne, puis le projet caennais est abandonné en mars 2013.

En 2011, le transfert du Fonds régional d’art contemporain Basse-Normandie dans le Quartier Lorge est inscrit dans le contrat de projet État-Région. Les travaux d’aménagement des anciens bâtiments autour du cloître et la construction d’un nouveau bâtiment sont confiés à Rudy Ricciotti. Le Quartier Lorge sera ainsi intégré au pôle culturel d’intérêt régional en cours de constitution à l’ouest du centre-ville (Centre chorégraphique national de Caen Basse-Normandie, dans la Halle aux Granges, mais devant déménager à terme dans la chapelle du Bon-Sauveur, le Conservatoire à rayonnement régional de Caen et l’Artothèque dans le Palais ducal de l’abbaye aux Hommes). Les travaux ont commencé en décembre 2015. Le 8 mars 2019, le Fonds régional d’art contemporain de Normandie-Caen est officiellement inauguré dans l’ancien couvent restauré.

Les anciennes écuries devraient être reconverties en ateliers culturels accueillant des activités théâtrales et musicales. Le programme et l’enveloppe financière nécessaire pour lancer la consultation de maîtrise d’œuvre sont adoptés lors du conseil municipal du 28 janvier 2019. L’espace central devrait être aménagé en parc urbain.

Et demain la future Résidence de la Visitation.

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Cœur d’une aire urbaine de 420 000 habitants (dont 23.6 % de 15 à 29 ans) et 172 000 emplois (près de 17 % de cadres) ;

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Qui, avec 2 200 chercheurs, concentre des fonctions d’innovation et de recherche ;

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Des services qualifiés

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